On peut désormais se lever à midi sans culpabiliser : une équipe de chercheurs suédois affirme que faire des nuits courtes pendant la semaine serait sans conséquence sur la durée de vie... à condition de jouer les marmottes le week-end.
Les amateurs de grasses matinées peuvent se réjouir ! Ils ont désormais une caution scientifique pour traîner au lit le week-end : une étude suédoise intitulée « La durée du sommeil et la mortalité ». Publiée le 22 mai par les chercheurs du Stress Research Institute de l’Université de Stockholm, elle révèle que compenser les nuits trop courtes de la semaine en dormant plus tard les samedis et dimanches matin permet d’éviter une mort prématurée.
Depuis, cette découverte fait le buzz. Et pour cause, elle bouscule l’idée, qui prévalait jusque-là, selon laquelle un sommeil régulier est meilleur pour la santé. Pour réaliser cette étude, les scientifiques ont étudié les comportements nocturnes de 43 880 personnes pendant treize ans.
Après 65 ans, on fait ce qui nous chante
Leurs résultats confirment d’abord ce que d’autres études avançaient déjà : les adultes de moins de 65 ans qui dorment très peu, soit moins de cinq heures par nuit, augmentent leur risque de mort prématurée de 65 %.
L’étude suédoise corrobore aussi une autre assertion bien connue des spécialistes du sommeil, mais moins du grand public : dormir trop est aussi mauvais pour la santé. Ceux qui passent toutes les nuits huit heures ou plus dans les bras de Morphée ont une espérance de vie de 25 % inférieure à celle de ceux qui dorment quotidiennement six ou sept heures.
Notez bien qu’au-delà de 65 ans, toujours selon ces statistiques, vous pouvez faire ce qui vous chante : il n’y a plus de corrélation entre le nombre d’heures de sommeil et la mortalité.
Un sommeil « de rattrapage »
Le fait nouveau, selon les chercheurs suédois, c’est donc qu’on peut veiller tard en semaine et se rattraper avec de gros roupillons le week-end sans réduire sa durée de vie. Au sein de leur cohorte, les sujets qui dorment quelques heures à peine du lundi au vendredi, mais font de grosses nuits les samedis et dimanches ont une espérance de vie égale à ceux qui ont un sommeil équilibré et régulier.
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Deux_minutes_pour_apprendre
En Juin, 2018les types d’entretien
vous trouverez cinq types d’entretien :
• l’entretien tête-à-tête
c’est une procédure très classique, mais qui tend à se raréfier. en effet, dans le but de mieux contrôler la subjectivité individuelle, on tend à confronter chaque candidat à plusieurs personnes.
• l’entretien ambulatoire
vous vous promenez dans la société ou l’entreprise ; le premier entretien a lieu par exemple dans le département des ressources humaines, le deuxième dans le service qui recherche un collaborateur, le troisième dans le bureau du directeur. cette technique est assez éprouvante pour le candidat qui doit bien identifier la personne qui le reçoit et doit répondre à des questions qui peuvent être d’ordre très différent (technique, général, etc.).
• seul en face de plusieurs recruteurs
vous vous retrouvez face à deux ou trois personnes de la société, quelquefois plus. ces personnes ont souvent une fonction différente et posent des questions qui les concernent chacune en priorité. c’est un peu comme un entretien ambulatoire condensé.
gardez votre sang-froid et adressez-vous en priorité à la personne qui vous parle mais cherchez le contact avec les autres également. sachez identifier les fonctions et les rôles respectifs de vos interlocuteurs.
• tête-à-tête successifs
trois ou quatre personnes vous interviewent, mais à tour de rôle. elles se succèdent à un rythme soutenu. par exemple : responsable des ressources humaines, supérieur hiérarchique, futur collègue. cette technique ressemble aux deux précédentes. les candidats qui l’ont vécue l’ont trouvée fatigante. en effet, pour certains d’entre eux, quatre entretiens d’une heure se sont succédés sans la moindre pause entre eux.
• entretien de groupe
cinq ou six candidats sont convoqués le même jour et à la même heure. après une brève présentation de l’entreprise à tout le groupe, une étude de cas est donnée : problème à résoudre, solution à mettre en oeuvre, etc.
l’important n’est pas tellement ce que vous direz, mais comment vous le direz, car bien sûr le groupe en interaction est observé par une ou généralement deux personnes de l’entreprise.
soyez leader, mais de type participatif et non autoritaire. laissez les autres s’exprimer, jouez le rôle de facilitateur de séance, organisez son bon déroulement, veillez à ce que l’horaire soit tenu et l’objectif atteint.
Amy
En Janvier, 2022rencontres pour le sexe - www.my18.fun